Haïku venait de quitté l'antre du couple Alpha des Shadow. Avec une patte maintenant guéris. Whitefang s’avança vers l’entré de son antre. Il devait parler avec Alaska, lui dire qu’il serait toujours la pour elle. Il n’était pas fâché, simplement déçu. Comment avait-elle pu le mettre autant de coté. Puis il repensa à une discussion qu’ils avaient eue lorsqu’elle était revenue au camp frustré par un loup inconscient des Spirit of Fire. Elle lui avait dit qu’elle se sentait perdu… Est-ce qu’elle le savait depuis ce temps? Maintenant c’était lui qui se sentait perdu. Une brise souffla dans son pelage. Il ferma les yeux, le vent lui amena l’odeur de sa compagne. Il sourie, malgré tout il l’aimait, elle avait son petit coté orgueilleux, elle n’avait probablement pas voulu lui en parlé car elle croyait être capable de s’en sortir seul. Mais ils étaient 2 et ils étaient ensemble. Le futur Alpha se mit tout de suite le nez au sol pour reniflé la trace d’Alaska. Ce ne fut pas chose compliqué, elle semblait être partie vers la clairière épineuse, sans attendre Le petit loup tricolore se lança à sa poursuite. C’est à se moment qu’il se rendit compte de tout l’importance des petites choses simple, c’était si bon de courir, lui qui croyait ne plus jamais pouvoir marché. Il s’en donna à cœur joie accélérant son pas de course et en moins de deux, il l’avait déjà rejoint. Le loup mexicain l’observa un moment, le vent était en sa faveur, elle ne l’avait pas encore repéré. Alors il monta sur un petit roché et la vérité que Haïku lui avait apprit refit surface, faisant serré les dents au jeune loup. Mais il reprit bientôt son air fier, ils passeraient au travers, ils le devaient. C’est à se moment qu’il appela :

-Alaska!

Il était toujours perché au dessus de son petit roché, bien droit, sa nouvelle patte guéris bien en évidence. Il attendait qu’elle se retourne pour commencer leur discussion.

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Alaska courait, rapidement, sans vraiment faire attention aux proies qui se trouvaient là. Certes, elle était là pour chasser, mais trop de pensées se bousculaient dans sa tête. D'abord son mal-être, puis sa douleur, ses pensées, ses sentiments, et puis la découverte de sa famille, et enfin la blessure de Whitefang. S'en était trop, trop pour elle. La louve de neige avait l'impression d'être au bord d'un immense gouffre, dans lequel elle tomberait à la première bourrasque, sans personne pour l'aider. Oh, certes, son compagnon était tout pour elle, et elle culpabilisait de ne pas le lui avoir dit, mais qu'aurait-il pu faire ?

C'était à elle, et à elle seule de régler ses problème, mais Alaska avait l'impression de s'enfoncer plus que jamais, et elle doutait de sortir vivante et en bonne forme de ces épreuves. Au fond, était-elle vraiment faite pour la vie qu'elle menait ? Mais il était trop tard pour fuir, trop tard pour partir...A moins que...Elle aurait pu partir, sans prévenir personne, et partir loin d'ici, très loin, tout oublier, et recommencer à vivre, mais en serait-elle capable ? Elle s'était tellement habitué à vivre comme une meurtrière, qu'elle doutait de pouvoir jamais se débarrasser de cette vie. Une vie qui lui collait au corps comme si...elle était emprisonnée, dans une cage trop petite, et elle ne le supportait pas, loin de là.

C'est alors qu'une voix la tira de ses pensées :

- Alaska !

Se retournant doucement, sachant déjà qui elle allait trouver là, la louve blanche leva les yeux, et vit son compagnon, plus beau que jamais, le vent soulevant son doux pelage, lui sur un rocher, sa patte droite en avant, et guérit. En se rendant compte de se détail, Alaska cru défaillir. Seul un loup pouvait soigner une blessure aussi grave, et il ne visitait jamais quelqu'un sans un but précis. Dès lors, aucune doute n'était possible. L'ermite était venu rendre visite à Whitefang, et pour que celui-ci vienne la retrouver, c'est qu'il savait quelque chose, et qu'il voulait lui parler.

Il n'y avait plus à douter, son compagnon savait. Ce qu'elle ne savait pas, c'est jusqu'où Haïku était allé. Ses liens avec les Alphas ? Sa tristesse ? Ses sentiments ? Et même tout ? Alors s'en fut trop. Alaska eut beau fermer les yeux, elle ne pu retenir les larmes qui coulèrent de ses yeux, tachant son pelage éclatant, laissant derrière elle une trainée aussitôt recouverte par une autre larme, un flot incessant de larmes, de tristesse accumulée, de peur, et d'incompréhension. La tête haute, les yeux toujours fermée, Alaska n'était plus maître d'elle-même, elle n'était plus qu'une louve perdue.

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Whitefang la regarda se retourné vers lui. Il gardait toujours sa majestueuse pose héroïque, le vent était de son coté, lui remontant le pelage, la seule chose qui manquait était le soleil couchant derrière lui. Il allait la rejoindre quand il vit quelque chose qui le surpris, Alaska se mit à pleuré et pas qu’une seule larme, la louve blanche pleurait des torrents de larme et elle le pouvait plus s’arrêter. Le cœur du petit loup mexicain ne put supporter autant de tristesse dans les yeux de sa compagne, alors il couru vers elle pour frotté son museau contre le sien et tenté de séché ses larmes en les chassant d’un coup de langue affectueux, mais rien n’y fit. Alors il passa sa patte nouvellement guérit dans le cou de sa compagne pour la rapproché de lui. Et il se mit à pleuré aussi et les seules mots qui pouvait s’échappé de sa gorge serré par les sanglots étaient :

-Chut mon amour… ne pleure plus… je t’aime Alaska, je t’aime, je t’aime.

Plus il parlait plus il enfouissait sa tête dans le pelage de neige de sa louve, comme si en fait c’était lui qui avait besoin d’être réconforté, mais il s’en voulait de n’avoir rien vu. De l’avoir regardé s’enfoncé dans un gouffre sans rien faire. Il se sentait terriblement coupable de ce qui lui arrivait. Les autres mots qui restait coincé dans la gorge de Whitefang était Pardonne-moi. Mais dès qu’il essayait de prononcés ces paroles, sa gorge se serrait encore plus laissant place à un silence entrecoupé de sanglot qu’il partageait avec sa belle. Mais après un moment il se dégagea légèrement la tête et avec sa patte qui n’était pas dans le cou de la louve de glace, il essuya les quelques larme qui roulaient encore sur son pelage. Le futur alpha sourie à sa compagne avant de lui léché le museau et il finit par réussir à laissé sortir les mots de sa gorge :

-Pardonne-moi. Pardonne-moi de n’avoir rien vue… j’ai… j’ai l’impression de t’avoir abandonné.

Il soupira et se détourna avant d’aller s’assoir plus loin dos à Alaska :

-Je dois être le compagnon le plus pitoyable que tu es rencontré…

En disant cela, Whitefang avait baissé les oreilles sur le coté et roulé sa queue autour de ses pattes. Il avait l'air plus d'un chien battu que du loup fier qu'il était d'ordinaire.

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- Ce n'est pas Toi. Tu es parfait comme tu es, et c'est Toi que j'aime. C'est Moi qui ai trahi ta confiance en gardant pour moi ce que j'aurais du te confier. Pardonnes-moi, c'est la seule chose que je désire, Whitefang. Jamais tu n'as failli à tes promesses, jamais tu ne m’as abandonné, tu m’as toujours apporté ce qui me manquait, et sans Toi je ne suis rien.

À ses aveux, Whitefang se retourna pour lui faire face. Ses yeux bleus de saphir azurés l’observaient d’un regard remplie d’amour. Le petit loup mexicain ne pu s’empêché de lui renvoyé le même regard avec ses yeux topaze brunâtre. Le futur Alpha se leva et retourna au coté de sa compagne, il lui lécha le museau et ne put s’empêcher de lui dire d’un ton gentiment moqueur :

-Alors ne me refais plus jamais une peur pareil et je te promets de rester loin des pièges des hommes.

Le loup tricolore ne put s’empêcher d’avoir un petit rire. Même si elle lui refaisait une peur pareil, il resterait à des kilomètres de ses bestioles à deux pattes. Mais il reprit son sérieux et avec l’un de ses sourires les plus charmeurs il lui dit :

- Laisse-moi-t’épaulé Alaska. Tu n’es plus seule, tu n’as plus à l’être et tu ne le seras plus jamais et ça c’est une promesse que peut importe ce que la vie, les ancêtres, les anges ou même les démons de se monde ne pourrons briser.

Whitefang lui sourie avant de s’étiré et venir frotter sa tête contre la sienne, pour finir par faire glissé sa queue sous le menton de sa douce et lui déclaré d’un ton joueur :

-J’ai faim!

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Whitefang attendait qu’Alaska le rejoigne pour partir à la chasse, mais dès qu’il la vit s’assoir, le loup mexicain comprit que tout ça allait attendre un peu. Il se rapprocha de sa Reine des neiges et se coucha prêt d’elle. Si elle avait besoin de parlé et de déballé son sac pour qu’elle se sente mieux, alors le futur Alpha resterais le temps qu’il faut pour l’écouté. Puis, elle baissa les yeux et d’une voix tremblante elle lui expliqua tout :

- J'avais l'impression d'avoir tout perdu. J'étais perdu. Sidka me manquait, et la vie que je menais ne me plaisait plus. Le fait que chacun me déteste, me prennent pour une louve que je n'étais pas me désolait. Ce n'était qu'un masque, enfilé trop longtemps. J'étais seule. Mais je t'ai rencontré. Dès lors, je pensais que tout changerais, mais rapidement, les regrets, la peur, l'incompréhension sont revenus, et je ne voulais pas t'en accabler. Alors j'ai fais mine de rien.

Whitefang eut malgré tout un petit sourire, c’était tout Alaska, vouloir affronté seule toute les épreuves, même si elles sont impossible à surmonté seule, comme celle-ci. Le loup mexicain ferma les yeux un instant en remerciant Haïku en son fort intérieur d’être venue lui parlé avant que la situation dégénèrent au point de tombé sur leur couple et dieu seul sait s’ils auraient survécus à une déchirure pareil. Le Shadow continua d’écouté sa compagne avec autant d’attention qu’au début :

- Et puis, Morrigan et Sharka son venu me voir un jour. Et elles m'ont dit que...que nous étions de la même famille. Je n'ai pas voulu y croire, je refusais d'y croire. Mais au fond, je savais que c'était la vérité. J'étais accablée par le fait que Sidka ne m'ait rien dit, alors qu'elle savait. Je pensais qu'elle n'avait pas de secret pour Moi, et je me trompais. Vois-tu, Sharka est ma demi-sœur, tout comme Morrigan. Elles sont deux sœurs. Même mère. Au fond, Morrigan n'est pas bien méchante, mais je hais Sharka, je la déteste. Elle m'a toujours considéré comme un monstre, comme si j'avais choisis d'être ce monstre. Si elle le pouvait, elle m'aurait déjà tuée. Morrigan, elle, se doutait un peu de ma vraie nature.

Sharka, l’alpha des Fires… La louve à qui malgré tout il devait la vie, ou au minimum sa patte. Il est vrai que Whitefang ne connaissait rien d’elle, omis son nom et son rang au sein des Fire. Mais malgré tout il ne l’imaginait pas comme ça. C’est alors qu’il se surprit à pensé à Thunderbird et il répondit :

-Il y en faut dans chaque famille il faut croire… Ma Sharka à moi, c’était Thunderbird. Je n’étais pas le dominant, c’était lui et il prenait toutes les dispositions pour que je ne l’oublie jamais, il était aussi arrogant et mesquin envers moi parce que j’étais le préféré de mon père et ma mère. Bien souvent il m’a répété que je n’étais qu’un lâche et que je ne méritais pas d’être le fils de mon père. Si ce n’était pas de mes parents à nombreuse reprise il aurait tenté de me tué aussi et qui sait… peut-être que s’il ne c’était pas fait tué ce jour la, ça l’aurait été lui ou moi…

Whitefang leva les yeux au ciel, il était mort, mais pourquoi avait-il la sensation qu’un jour il le reverrait. Il écarta cette pensé ridicule. Soudain il se rappella de quelque chose que son père lui avait dit à propos de son frère et il termina en disant:

-Laisse Sharka attiré l’attention, elle aura toute l’attention qu’elle désire en temps et lieux. Moi je connais la véritable Alaska, pleine de douceur et d’une beauté aussi radieuse qu’un levé de soleil surplombant les glaciers.

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- Il y en faut dans chaque famille il faut croire… Ma Sharka à moi, c’était Thunderbird. Je n’étais pas le dominant, c’était lui et il prenait toutes les dispositions pour que je ne l’oublie jamais, il était aussi arrogant et mesquin envers moi parce que j’étais le préféré de mon père et ma mère. Bien souvent il m’a répété que je n’étais qu’un lâche et que je ne méritais pas d’être le fils de mon père. Si ce n’était pas de mes parents à nombreuse reprise il aurait tenté de me tué aussi et qui sait… peut-être que s’il ne c’était pas fait tué ce jour la, ça l’aurait été lui ou moi…

Son compagnon leva les yeux au ciel avant d'ajouter :

-Laisse Sharka attiré l’attention, elle aura toute l’attention qu’elle désire en temps et lieux. Moi je connais la véritable Alaska, pleine de douceur et d’une beauté aussi radieuse qu’un levé de soleil surplombant les glaciers.

Alaska le regarda, tendrement, comme on regarde son compagnon ou sa compagne. Cela faisait désormais longtemps qu'ils étaient ensemble, et ils n'avaient désormais plus aucun secret pour l'autre. De plus, chacun connaissait son égal, et ses moindre habitudes. Peut-être était-il désormais possible de songer à fonder une famille. Alaska en rêvait, depuis qu'elle était jeune louve, elle rêvait d'avoir des louveteaux, pour leur apprendre la vie, les protéger, avoir une famille et vivre heureuse, tout en assurant sa descendance. Plus qu'un instinct, c'était une envie, un désir, qu'elle pensait possible depuis qu'elle avait croisé la vie de Whitefang. Mais lui, qu'en pensait-il ? En voulait-il ? La louve blanche n'osait le lui demander, mais en même temps, elle lui avait promis de ne plus rien lui cacher, alors, d'une voix hésitante, elle plongea son regard azur dans le sien, et demanda :

- Est-ce que...tu aimerais avoir des louveteaux, Whitefang ? Avec Moi, tous les deux...

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Whitefang regardait toujours le ciel, mais la voix hésitante d’Alaska le fit tourner tranquillement la tête :

- Est-ce que...tu aimerais avoir des louveteaux, Whitefang ? Avec Moi, tous les deux...

Son cœur ne fit qu’un bond, comme ses oreilles qui se dressèrent au sommet de son crâne. Il ne pensait pas que la question se poserait aussi précipitamment et sans détour. Il resta surpris un moment, mais le petit air timide de sa compagne le faisait craquer. Puis il réfléchit à la question. Ça faisait un moment qu’il voulait des petits monstres, mais qu’il n’osait en parlé à Alaska dût à son attitude distante et maintenant que le sujet était sur la table. Le loup mexicain se releva et s’approcha de sa compagne :

-Bien sur que j’aimerais avoir des louveteaux. Et je ne voudrais aucune autre louve que toi, pour m’embarqué dans cette nouvelle aventure.

Le loup resta silencieux le temps qu'il réfléchisse à ce qu'il venait de dire et il rectifia immédiatement:

-Mais seulement si tu te sens prête! Je peux attendre encore si tu ne te sens pas prête à fondé une famille... maintenant

Le futur alpha attendait la réponse de sa compagne, il n’en revenait pas qu’elle est abordé le sujet, il ne comptait plus le nombre de fois ou il y avait pensé et qu’il voulait en discuté avec Alaska, pourtant il jugeait le sujet un peu déplacé dans les situations des derniers jours. Sa seul peur pour l'instant c’était de brusqué les choses et d'aller trop vite.

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[Je sais, c'est pas tip top, mais je savais pas comment faire ]

La louve blanche colla son museau contre le sien, il ferma les yeux à se contact, il était si heureux de l’avoir retrouvé sa compagne dans toute sa splendeur. Une petite lichette sur sa truffe lui fit ouvrir un œil. Whitefang la trouvait rayonnante, c’était le terme. Puis elle lui dit beaucoup plus confiante :

- Je suis prête, ne t'en fait pas. Je ne t'en aurais pas parlé si je ne l'étais pas.

Le loup mexicain eu un petit sourire, fondé une famille avec sa compagne. Mais une soudaine sensation de nervosité l’envahis, s’il la blessait? Cette seule pensée lui mettait une boule de stress dans l’estomac. Le petit loup mexicain ravala sa salive et soupira, il n’avait jamais été aussi nerveux de sa vie. Il détourna la tête un moment pour se calmé, mais dès qu’il se retourna vers Alaska, elle était dos à lui. Le futur Alpha savait bien que l’ont ne trouvait pas les louveteaux sous les roches en partant à la chasse. Ce qui lui rappela qu’il avait vraiment peur de la blessé. Puis quand il finit par se rendre à l’évidence.

*Quand il faut y aller, il faut y aller.* Pensa Whitefang.

Une fois finis, le loup mexicain se coucha sur le coté, en invitant sa louve à se couché prêt de lui. Il était heureux de pensé qu’ils allaient fonder une famille, lui et sa compagne et que bientôt il y aurait peut-être 3 ou peut-être plus de petite Alaska et de petit Whitefang qui courraient dans le camp faisant les 400 coups. Ce serait un nouveau défi pour lui et sa belle compagne. Le loup mexicain savait que les premiers temps il allait devoir redoublé d’effort à la chasse pour nourrir ces petits estomac ambulants et aussi son adorable louve qui devrait rester au camp pour s’occupé de leurs petits. À cette pensé Whitefang frotta sa tête dans la nuque de la mère de ses futurs louveteaux et il remonta jusqu’à son museau, lui donnant une petite léchouille qui démontrait toute son affection puis il lui dit avec sincérité :

-Je t’aime Alaska.

Après que Whitefang eu fait son travail de mâle, il se coucha, et déclara :

- Je t’aime Alaska.

La louve se coucha à ses côtés, pleine de bonheur à l'idée de ce qui se profilait. Des louveteaux. Combien ? Deux ? Trois ? Quatre ? Elle avait du mal à réaliser, presque. C'était si...beau. Bientôt, elle aurait sa propre famille, et elle ne regrettait en rien cette chose. C'était un cadeau de la vie d'avoir rencontre Whitefang, à n'en pas douter. Se couchant contre lui, presque sur le dos, elle tourna la tête, et vit son museau juste au dessus du sien.

- Je t'aime aussi, Whitefang.

D'ici la naissance des petits, il y aurait de l'agitation. Car, même si au début cela ne se verrait pas, les Winds et les Fires finiraient par s’apercevoir qu'elle ne sortirait plus aussi souvent. Et il n'était pas question que l'un d'eux s'approche d'un petit, sans quoi il était mort dans la minute qui suivait. Quand aux Shadows, il y avait fort à parier qu'ils se réjouiraient, du moins l'espérait Alaska. Whitefang devrait à l'avenir sortir plus, et prendre les commandes. ensuite, dès la naissance, il serait nommé Alpha officiellement. Le soleil commença à se coucher, et la louve de neige proposa à son compagnon :

- Peut-être devrions-nous rentrer. Il se fait tard, et les autres doivent se demander ou nous sommes passé.

[On clôture sur ta réponse ? Ou sur la mienne ?]

[La mienne ^^]

Whitefang aurait voulu rester comme ça pour l’éternité, Alaska couché contre lui, presque sur le dos. Alors le loup amoureux se le permis, il fit une petite lichette sur la truffe d’Alaska, avant de lui caressé le ventre avec son museau. Il les aimait déjà ses petits loups. Whitefang était plongé dans ses rêves de famille quand Alaska le ramena sur terre :

- Peut-être devrions-nous rentrer. Il se fait tard, et les autres doivent se demander ou nous sommes passés.

Le petit loup mexicain avait bien envie de dire, au diable les autres restons encore un peu. Mais elle avait raison. Ils devaient rentrer au camp. Puis il tenta d’imaginé la réaction des autres membres des Shadow? Il avait bien fais sa place au sein de la meute et il avait forgé son rang de futur alpha sans trop de mal, mais comment ils réagiraient quand ils apprendraient que leur Alpha bien aimé attendait des louveteaux? Le futur Alpha réfléchis un instant en regardant sa compagne avec plein d’amour, elle était heureuse, ce qui fit sourire le Shadow. La meute partagerait leur joie, il en était sur et il avait bien hâte de leur annoncé la nouvelle. Alors il répondit :

-Tu as raison, rentrons les autres doivent nous attendre.

[C'est trop mignon Je lock ]