J'ouvrais les yeux, presque l'aube avait passé. J'étais roulé en boule, dans ma fourrure blanche. Avant de me tortiller, m'étirant sur mes pattes fine et ouvrant une large gueule pour bailler. La lumière perçait le buisson ou dormait les autres louveteaux des Spirit of Shadow. Moi, je n'avais rien à faire là. Je suis un orphelin, je n'ai même pas leur sang, aucun parent... Je m’essoufflait en les regardant , je me sentais si...différent.
Je me lavais, titubant sur mes pattes, à cause de la fatigue. Je sortis du buisson, l'aurore avait déjà percé le ciel. La rosée glissait sous mes pattes. J regardait le ciel rouge doré, les nuage rosés et le fond bleu nuit parsemé encore de quelque étoiles. Lorsque je e cognait contre quelque chose ou quelqu'un. Baf !
Je secoua la tête pour me remettre du choc;
hurlais je avant de me calmer lorsque je vu que c'était une simple louveteau.

Essoufflée, j'ouvris les yeux sur la tanière où dormais les louveteaux de ma meute. J'inspira longuement pour me calmée. Maudit rêve ! Je m'ébroua et sortie sans bruit, prenant soin de ne réveillé personne. Ces faibles boules de poils avaient besoin de beaucoup dormir après tout.. Rares étaient les loups debout si tôt. Dehors, le soleil ce levait, teintant de milles couleurs le ciel où quelques étoiles brillaient encore par endroit. Je m'étira en baillant avant de me rasseoir et de respirer avec délice l'air frai de l'aurore. Je ferma les yeux, m'abandonnant à la fraîcheur matinale. Mon oreille frémit lorsque j'entendis des bruits de pattes maladroite derrière moi, mais je n'y prêta pas attention. Soudain, je sentis cette boule de poil maladroite me percuté. Je fis un bond en avant et me retourna vivement en grognant.

"- Hé! Fait attention ou tu marche !"

Nan mais, je rêve ? C'est lui qui me fonce dedans et il me dit de faire attention ?! Je m'ébroua, tentant de faire retombé ma fourrure qui s'était dressée puis me redressa de toute ma hauteur.. Même si je n'étais pas bien grande. Mon regard bleu glacé était tranchant, et je n'avais pas l'intention de baisser les yeux, loin de là. Je parla d'une voix basse, mais ferme et agressive.

"Tu as l'intention de réveillé la meute ou tu vas te taire ? De plus boule de poils, c'est toi qui m'a foncé dedans ! Tu pourrais quand même t'excuser ! A moins que tu ne connaisses pas la politesse ?"

Je détailla le louveteau albinos ce tenant en face de moi. Il était orphelin de ce que j'ai entendu dire. Comme moi d'ailleurs, nous avions tout deux perdu nos familles. Enfin, non.. Tout était différent. J'avais trouvé ma famille, ici, au sein des shadows. Les pitoyables loups m'ayant mis au monde sont mort car ils ne méritaient pas de vivre, point. Mon seul regret c'est d'avoir perdu ma sœur.. Mais, j'ai trouvé ce loup qui m'a sauvé. Ou plutôt, il m'a trouvé. Je guetta le moindre mouvement du louveteau dont j'avais oublié le nom. Ose t'approcher de moi et tu le regretteras..

C'était une louveteau noir sombre aux yeux glacée qui foudroyait du regard. Elle avait l'air furieuse ! Mais je m'en fiche !


Elle me guetta des yeux sans me lâcher. Je grognait. Moi, non plus ne la lâchent pas du regard. " La boule de poil ?" Elle aurait pu trouver mieux ! Je regardais, sans broncher, sa fourrure noir suie et ses yeux glace, le contraire de ma fourrure blanche neige et de mes yeux sang. Mais ce n'est pas un louveteau ennemis, je commença à la taquiner en prenant un air provocateur :

-Oh... désolé ! Aurais je fait mal à la petite louvette ?

Je m'assis, montrant qu'il ne me fessait pas peur, loin de là. Je cru percevoir un lueur de soulagement passé dans ses yeux. Aurais-tu peur?

"Ahah, toi, me faire mal? Non.. J'ai eue tellement peur, tu es si fragile.. si.. faible. Tu aurais pu te blesser."

Je me releva et fit quelques pas vers lui, avançant lentement, mais surement. Tu as bien de la chance de faire partie de la même meute que moi, je t'aurais volontiers tailler en pièce.. Si tu n'étais pas un vulgaire louveteau, mes crocs serait déjà dans ta fourrure.. J'attendis patiemment la réponse du petit mâle blanc, sans bouger. Une assurance étonnante émanait de moi. Mais, après tout, pourquoi devrais-je le craindre ?

Elle s'assit par terre.


Je connaissait cette insulte, on me l'avait déjà dite, c'est pas la première fois ! Mais je ne veux pas que l'on me prennent de faible ! C'est cela que l'on pense de moi !  Mais c'est faux ! A chaque fois que  l'on pensait ça. Mais on peut vaincre avec la ruse, même sans muscle ! Cependant je bondis sur la louvette en grognant. La plaquant au sol, sur l'herbe mouillée :


Lui crachais je au visage. Je la tenait bien ses pattes, et j'avais posé une de mes pattes arrière sur son ventre pour le bloquer au sol.

Je fus agréablement surprise lorsqu'il se jeta sur moi. J'adorais me battre. Plus que tout. Je frémit de plaisir.

- Traite moi encore de faible et je te fais ravaler ta fierté d'être forte, toi , peut être ! Louvette !

Il me sauta dessus et me plaqua au sol. Je plaqua mes oreilles en arrière, je n'aimais pas être mouillée, et, l'herbe du camp était encore perlée de goutte d'eau. J'eue du mal à respirer lorsqu'il posa sa patte sur mon ventre, et, appuya peu être un peu trop fort, mais je ne le montra pas. Si faible.. Tellement pitoyable que tu fasse le premier pas.. Tellement excitant que tu souhaites te battre ! Je ria sombrement.

"Faible."

Ma petite taille n'était finalement pas si ennuyeuse que ça. Je réussis a me courber suffisamment pour lui mordre la patte, enfin, mordre, un bien grand mot, disons mordiller, pour qu'il l'enlève et que je puisse me relevé. Les rôles s'échangèrent et je me retrouva au dessus de lui, mais, contrairement au louveteau, je plaça ma patte sur son torse et la laissa glisser doucement vers sa gorge, appuyant lorsque je le sentais bouger et appuyant moins lorsqu'il restait tranquille. Je me pencha alors sur lui, tout près de son oreille, si près que je pense qu'il dut sentir mon souffle.

"Et comment conte tu t'y prendre ?"

Ma voix ne fut qu'un murmure, qu'une menace. Après un léger grognement, je m'écarta de lui, et le regarda se relever, la tête haute et les oreilles fièrement dressé.

Comme si elle s'enfichait, la jeune louve ricana


Elle m’énervait ! Elle se courba sur elle même et me mordit " gentille-ment " la patte, la dégageant aussitôt en poussant une gémissement. D'un coup , je me retrouve coincé sous elle. elle devait bien rire ! La louvette passa sa patte sur ma gorge. dès que j'essayait de me dégager, la patte se pressa sur ma gorge, manquant de m'étouffer. Finalement, je fini par m'immobiliser. elle se pencha vers moi et murmura à l'oreille :

La louvette se leva, fière. elle se croyait la plus forte... Dès que je me levais sur mes pattes. Mes yeux commencèrent à trembler comme ma petite bouche ou se découvrait de dent petites et sans défense. Dans un gémissement, je me cabra sur moi même, tous petits en pleurant.

Je fus surprise de le voir se recroqueviller sur lui même ainsi, le loup blanc tremblait. Un souffle glacé souffla, ébouriffant ma fourrure. Je cru percevoir le rire sombre du loup d'ombre de mes rêves. Oui, j'avais réussis. A quoi? A prouver que je ne fessait pas partie des faibles, que je valais beaucoup plus que ça. Fière ? Oh, ça je l'étais. J'éprouvais peut-être une pointe de compassion pour le pauvre louveteau maladroit qui a eu la malchance de me percuté par mégarde. Il gémit. Il risque de réveiller les autres.. Je leva les yeux au ciel. J'avais eue ma victoire, pas la peine de l'enfoncer d'avantage en lui intimant le silence. Mais que pouvais-je faire ? Le laisser là tremblant et pleurant ? Ce serait humiliant. Oui. J'aurais fait ça si ce aurait été un ennemi, ou s'il n'aurait pas compris qui de nous deux était faible et qui ne l'était pas. Mais, il semblait plutôt intelligent pour un stupide et naïf louveteau.

Je m'ébroua pour chasser les rares gouttes d'eau qui s'étaient déposé sur ma magnifique fourrure aussi sombre que la nuit et lui fis signe d'aller ce recoucher puis me détourna. Je ne sais pas si il était repartie dans le buisson des louveteau, au chaud, et à dire vrai, peu m'importait. Je marcha tranquillement, mais néanmoins attentive si jamais l'envie lui prenait de me sauter dessus, jusqu'au pied d'un arbre où les minces rayons du soleil ne m'atteignaient pas. A l'ombre, bien au frai, et au sec. Je me laisse tombé sur le coté, ce qui souleva quelques flocons de neige. Je les regarda retombé. Mais.. Il n'y a pas neiger pourtant ? Je posa ma tête sur mes pattes et regarda les mystérieux flocons givrés tombé délicatement par terre.

Je m’étais mis en boule, pleurant, mais pleurant quoi ? des larmes de crocodiles ! La louvette semblait fière mais elle n'étais pas méfiante, je vis même un éclair de compassion passer dans ces yeux. Elle regarda le ciel et secoua sa fourrure alors que j'étais encore gémissent faussement. Je préparais une attaque pour cette cher louvette qui c'étais moquée de moi ! Elle me fit signe d'aller au buisson des louveteau et se retourna pour s'aller se coucher près d'un arbre. Me coucher ? Pas questions ! Voyant mon plan s'échoué mais j'avais la preuve que cette louve étais véritablement naïf ! Alors que je me retournais vers le buisson, toujours en jouant la comédie. Je m'installa derrière le buisson, la louve ne me voyait pas! Je me mit à me concentrer sur mon pouvoir.
Me transformer en aigle. je me concentre très fort ! Je lui réservait une belle surprise ! Je me sentis pousser des ailes. Je ne maîtrisait pas encore bien ce pouvoir mais bon. Je m'envola aussi vif !
J'espère qu'elle ne m'avait pas vue m'envoler. elle semblait concentrée sur quelque chose.
aussi tôt, l'occasion se présentait , un looping ! Je fonçais vers elle comme une proie et lorsque j'étais juste à la bonne hauteur, je me métamorphosa en louveteau pour lui sauté dessus en grogant.
J’atterris sur son dos. Lui tenant la chair par les griffes, elle devait être surprise.

Je ne compris pas trop comment, mais il atterrit sur mon dos. Il était lourd ! Beaucoup plus que moi ! Je sentis ses griffes m'arracher la fourrure. Je grogna, menaçante pour une louvette, a la fois de rage et de douleur lorsque je sentis un liquide chaud couler de mon épaule. Mon sang.

- tu ma cru ? Alors j'ai bien la preuve que , toi, t'es naïve ! !

Je profita du faite qu'il n'était pas vers ma tête pour me levé sur mes pattes arrière, tituba puis, dans un ultime effort, me jeta de tout mes forces contre l'arbre en espérant qu'il aurait assez mal pour lâcher prise. Le sentant toujours bien accroché, mais un peu sonné, je bascula en arrière et réussis à passer d'un coté d'une racine sortant de terre, tandis que lui resta de l'autre. Je m'ébroua, légèrement assommée puis me ressaisit. Je bondis alors sur la racine et elle, ainsi qu'une zone autour de moi allant jusqu'à l'albinos ce givra. Mon regard était emplis de haine.

Tu es faible. Tu attaques en traître, tu simule ! Qu'es tu ? Une proie ? Un vulgaire gibier fessant le mort pour ne pas qu'on l'attaque? Naïve ? Tu dis que je suis naïve ? Je préfère mille fois être naïve que d'agir comme tu le fais, ce n'est pas digne d'un loup. Encore faudrait-il que tu en sois un ! Un VRAI loup je veux dire !

J'étais bien haute sur ma racine, et mon regard aussi tranchant que mes paroles le foudroyait. Oui, de là où j'étais je pouvais le regarder de haut. Mais, resté ici à le dévisagé ne me serait pas bien utile, je décida alors de sauter de la racine, atterrissant gracieusement et avança lentement vers lui en grondant, mes fins crocs blanc légèrement découverts, gardant la tête haute même si mes oreilles était couchée en arrière. Chacun de mes pas gelait l'endroit ou ma patte ce posait, ce propageant brusquement. Magnifique. C'était magnifique que la glace m'obéisse. Ce ne devait pas être un hasard si j'aimais tellement le froid et ne le craignait pas. Il n'était qu'à une longueur de queue de moi. Je lui souris. Un sourire menaçant. Tu vas le regretter mon beau..

La louve étais surprise. Elle se leva et se cogna contre un arbre. J'étais sonné mais je tenais bon ! Les griffes toujours serré sur son dos. j'essayait d'atteindre le cou mais la louve se courba et m'envoya contre une racine. Baf ! je ne l'avais pas vue ! La louve partis sans moi, alors que je m’effondrais sur le sol mouillés;Je lui avait lacéré le dos. Elle bondis sur la racine alors que je secouais la tête. sonné.


son regard étais glacés mais je m'en fichait.Me dire que j'étais faible, ce n'étais pas vrais mais me dire que je n'étais pas digne me gonflait d’orgueil et de fierté. La louvette approcha, les oreilles plaquées contre sa tête. Je m'étais plaqué contre le tronc de l'arbre. Elle montrait les crocs, je lui lança un sourire faux et un regard provocateur :


D'un coup je gratta le sol avec mes pattes arrière ! lui envoyant une bouffée de poussière droit dans les yeux pour l'aveugler. Je profita de cette dispersion pour me lever, me dégager et m'enfuir loin d'elle en ricanant.

Il me provoqua du regard et lança:

"- Peut être, mais moi je préfère être un indigne et fourbe q'un inconscient "

Il se retourna et me projeta de la terre à l'aide de ses pattes arrières, aussi blanche que le reste de son corps mais néanmoins salis par la poussière qu'il m'envoyait. Avant qu'elle ne m'atteigne, je baissa la tête et la tourna sur le coté, histoire de ne pas m'en prendre dans les yeux, mais, quelle fut ma surprise lorsque je ne sentis rien atteindre mon pelage. Je releva les yeux et vit qu'une fine couche de glace s'était dressée entre la poussière qu'il m'avait envoyer et moi. A travers ce petit mur de glace, je le vis détalé en ricanant.

"- bien fait !"

Je réprima un grognement et leva les yeux au ciel. Stupide louveteau.. Et dire que je le croyais intelligent, quel lâche ! Je donna quelques coups de langue rapide sur la griffure qui m'avait entailler l'épaule. Enfin, égratigner. J'entendis des bruits de pas venant de l'entrée du camp et vis alors une patrouille de chasse revenir, celle de l'aube. En tête, une grande femelle tenait fièrement un lièvre énorme pour la saison, tandis que les deux autres chasseur tenaient à peine un frêle lapin et une grive. Je me dirigea dans leurs direction et leurs adressa rapidement un signe de tête avant de m'approcher du lapin qu'il venait à peine de posé. Il est vrai qu'il n'était pas bien gros, mais cela me suffirait amplement, je n'avais pas très faim aujourd'hui.

Je m'installa au pied de l'arbre, là où l'herbe était givrée et y déposa mon repas, le mangeant tranquillement tandis que les chasseurs repartaient.

[On fini sur ça?]

OK^^ si tu veux

[Je lock ]