Hurricane, un ancien Gladiateur de Justice qui a pris sa retraite à la naissance de son fils. Sombre dans le jeux et l'alcool quand sa femme est assassiné. Démoli, il se retrouve à la rue, mais il est prit en charge avec son fils par un Foyer pour Vagabond Monoparentale. Mais rien ne s'arrenge, il boit toujours et joue de plus belle. Hurricane est au bout du rouleau quand une ancienne Gladiatrice de Justice ayant gravie les échellons, Raya une tigresse blanche, le retrouve pour lui demander de participer au nouveau jeux télévisé qu'elle vient de lancé, Ad Vitam et Mortem, 5 équipes de 2 qui doivent s'affronté et survivre ensemble. Les gagnants seront couvert de richesse inimaginable. Mais peut-on redevenir un glorieux Gladiateur après avoir fait le serment de ne plus donné la mort?

Je suis excité, j’ai eu peine à dormir cette nuit. Demain est un grand jour, je serais enfin Gladiateur de Justice. Qui aurait cru qu’un bon à rien comme moi, un bagarreur de rue aurait un travail aussi respecté. J’ai dût travailler dur pour en arrivé ou j’en suis, mais je suis fier d’avoir été recruté. J’en ai bavé, l’Académie des Gladiateurs m’en a fais voir de toute les couleurs, mais j’ai réussis, j’ai terminé mes entrainements et aujourd’hui on me donnera le glaive de Damoclès. L’Arme principale de tout les Gladiateurs. J’ai revêtu l’armure d’or de cérémonie, une armure style romaine avec une longue cape rouge. On cogne enfin à ma porte et sans même que je donne la permission d’entré on l’ouvre. Je me retourne pour voir un renard argenté dans la même armure que moi, mais son fourreau est décoré de 3 diamants. À chaque année de services rendus au Palais de justice ou pour acte dépassant les attentes, les Gladiateurs voient leur fourreau d’épée incrusté d’une pierre précieuse de leur choix. J’ai l’intention d’être le Gladiateur le plus décoré au monde, quand je prendrais ma retraite, j’aurais tellement de pierre précieuse que l’on devra les incrusté sur mon armure! Un raclement de gorge de la pars de mon supérieur canin me rappelle à l’ordre. Je sors de la pièce et me rend au centre du Palais de Justice ou sont réunis beaucoup de jeune gens de mon âge et assis sur les bancs derrière nous, se trouve tout nos supérieurs. On nous place au garde à vous, j’ai le sourire fendu jusqu’aux oreilles, un léger coup d’œil à ma gauche et à ma droite me permet de voir les 4 autres graduer de ma promotion. À mon extrême droite se trouve un Renard polaire, entre moi et lui se trouve Lynx et à mon extrême gauche je peux voir la seule fille de notre promotion, c’est une Tigresse blanche. Pour lui avoir adressé la parole 1 ou 2 fois, je sais qu’elle se nomme Raya et qu’elle est très mignonne et entre elle et moi ce trouve un Coyote. Nous sommes tous des gamins perdus de 16-17 ans tirés de la rue par le Gouvernement et bientôt je serais un Loup, un vrai! Finis le temps des louveteaux!

-Hurricane Wolf.

La voix grave de l’Iudex Kaldok, un vieux loup blanc, le plus grand juge et directeur de l’Académie, me tire de mes pensées. Sans dire un mot, j’avance d’un pas dans sa direction toujours en garde à vous.

-Vous avez passé avec brio les examens de l’Académie. Vous avez honorez les valeurs des Gladiateurs.

Mon cœur s’accélère quand il se retourne vers un chat roux pour prendre une médaille et me la passé autour du cou. Par automatisme je baisse la tête, m’inclinant légèrement pendant qu’il continue son discours :

-Reçois cette médaille pour que tous se souvienne que en ce jour tu n’es plus un délinquant errant sans but, mais que tu es l’un des nôtres.

Le vieux loup se retourne encore vers le félin, quand cette fois j’ai du mal à tenir en place. Il l’a dans ses mains le Glaive de Damoclès, mon Glaive de Damoclès. Quand enfin il me le remet entre les mains, je fige sur place, j’en suis tellement heureux et fier que la seule chose que je réussis à faire c’est de m’incliné devant mon Maître. Il me sourit et continue pour les deux prochains. Je suis tellement absorbé par la beauté de mes présents que je n’écoute plus du tout. Mais la prière de la cérémonie de clôture me sort légèrement de ma léthargie et je répète le serment comme tous les autres après le vieux Kaldok :

-J’implore la bienveillance des Dieux sur moi. Ma lame est mon âme sœur tant qu’elle est avec moi je n’ai besoin de rien. Ma force est mon allié qui veille sur le Peuple. Mon instinct est mon secours qui me fait traverser au travers les arènes piégé. Jamais de pitié je n’aurais, car toutes dettes doit être payer, la mort pour la mort. Tel est la loi. Je me battrais pour que Justice soit rendue à la veuve et l’orphelin, tel est la loi, tel est mon serment de Gladiateur!

Le Maître de cérémonie ce tût, nous écoutant terminé notre dernière phrase avec passion et détermination. Je suis un Gladiateur, un vrai. Un tonnerre d’applaudissement retentisse de la pars de nos supérieurs. On se regarde, les 5 nouveaux Gladiateurs et on s’adresse un poigné de main amicale et chaleureuse quand Kaldok lève la main pour demandé le silence, chose que nous faisons immédiatement. Puis il annonce :

-Pour célébré votre graduation, nous offrons un combat dans une arène simple et c’est l’un de vous qui exécutera cet Ours!

Il avait dit ça en nous désignant avant que l’on fasse entrer un énorme ours noir. Ses mains était menotté dans son dos relié par une chaine à des bracelets de fer qu’il portait aux chevilles et une autre chaine plus lourde partait toujours de ses mains, faisait le tour de ses énormes biceps avant de venir s’attaché à un collier ou était relier une laisse en chaine pour trainé l’accusé devant eux. De plus, l’ours portait une muselière en cuir. Il me fallut quelques minutes à me rappelé ou j’avais vu cet accusé. Mais nul ne pouvait me trompé, c’était Glaer, il avait été recherché un longtemps, pour meurtre, vol armé et viole avant d’être capturé la semaine passé dans une descente de bar. Ironique non? Plus d’une dizaine de victimes et il est attrapé dans un bar, saoul mort à chanté des chansons à boire, un pichet de Vodka à la main. Le géant nous dévisage chacun d’entre nous en nous défiant de le tuer dans l’arène. Kaldok fait signe à son bras droit félin de lui amené une boule de verre qui contient nos 5 noms. Je me surprends à espéré de ne pas à devoir l’affronté, mon regard se glisse vers Raya. Pourquoi pas elle? Je ne l’ai jamais vue se battre. Mais la voix grave du loup me ramène à lui :

-Hurricane Wolf.

Je ferme les yeux et soupire profondément avant de m’avancer d’un pas. Je regarde mon Maître en m’inclinant, d’accord ce n’est pas de chance pour moi, mais tant pis je le tuerais alors. Je sors de la pièce accompagné du Renard argenté qui était venu me chercher. On se rend en silence dans l’arène. En coulisse j’enfile une armure plus confortable principalement de cuir, avec un plastron en métal forgé. Mon supérieur est silencieux jusqu’au moment ou je lâche tout mon stress dans un long soupire :

-Tout ira bien Hurricane, il est gros et imposant, mais ça fait 1 semaine qu’il est dans nos cachots et il a eu au total qu’une tranche de pain et de l’eau. Il est faible, sinon épuise le en le faisant courir et achève le en vitesse.

-Merci du conseil Silver.

Silver incline la tête légèrement et en me donnant une tape sur l’épaule il me dit :

-Nous sommes des Gladiateurs, quand les portes s’ouvrent et que l’arène se dévoile. La foule tremble acclame les héros. Les bourreaux devenu victimes s’agenouille, vaincu face à la puissance. Que ta Lame fasse coulé le sang pour effacé les âmes en peine, car nous sommes Gladiateurs, c’est notre Destin. Rappelle-toi toujours de ses paroles quand tu entreras dans une arène Hurricane, tu iras loin.

Je lui sourie une dernière fois quand enfin les portes s’ouvrent devant moi et je comprends le sens de ses paroles. Tous les sièges de l’amphithéâtre son remplis et la foule m’acclame à un point telle que ça en est déconcertant. Une idée me traverse l’esprit, ils veulent un héro? Je vais devenir le leur dans cette arène. Je tire mon Glaive et d’un hurlement mélodieux, je le lève en haut de ma tête. Le public adore et acclame de plus belle, mais quand les pattes de Glaer frôle le sable de l’amphithéâtre, tout ce que j’entends c’est une cacophonie des châtiments que je devrais lui faire subir. Une morte lente! Fait le souffrir! Fait le payer pour ses crimes! Je le regarde dans les yeux. Toujours cet air arrogant, comme s’il espérait sortir vivant contre moi. Sa muselière et ses chaines ont été retirés. Tant mieux ça l’aurait été trop facile sinon. Je fais tourner mon épée deux fois dans ma main et je me mets en position de combat. J’avance en sautillant de gauche à droite et à quelques mètres de lui, je donne un coup de pied dans le sable pour le provoqué. Il en reçoit dans les yeux et je réussis mon coup, il est complètement furax. Il me lance un crochet du droit que j’esquive en passant derrière lui pour lui asséné un cou de coude dans la nuque. Je le vois fléchir sous l’impact, l’adrénaline monte en moi, c’est comme une sensation électrique qui donne de l’énergie encore et encore. Glaer réussit à pivoté pour me frappé d’un direct dans le ventre, j’en ai le souffle coupé, mais le mélange de rage et d’adrénaline qui se mélange en moi me donne encore plus de force. En quelques secondes cette sensation est devenue une drogue. Voilà j’arrête de jouer, c’est partie. La foule en délire ne fait qu’augmenter la dose de drogue dans mon sang. Je feinte à gauche pour partir à droite et je saute sur son dos. Je m’accroche à son épaisse fourrure noir charbon, je reçois un coup de patte puissant au visage et je sens le sang coulé dans ma bouche, c’est un gout que je n’aime pas, le gout du fer me lève le cœur et je crache au sol ce sang, mon sang tout en essayant d’évité les coups qui pourrait être meurtrier. Puis sa pattes m’accrocha par le collet de mon armure, il allait me précipité au sol, mais un coup bien placé de ma lame lui ouvrit le triceps. L’ours noir n’eu d’autre choix que de me lâché et profitant de l’opportunité. Je le frappe d’un bon coup de pommeau sur la tempe. L’imposant gaillard s’écroule au sol. J’ignore s’il est mort sur le coup, le crâne défoncé par le choc ou s’il est seulement inconscient. Mais dans les deux cas je m’avance vers la foule comme on nous a toujours montré et je m’exclame :

-Peuple de Bellator. Voici un meurtrier, un voleur et un violeur! Bon nombre d’entre vous ont été victimes de ses actes barbares! Comment voulez-vous que sa vie s’achève! À moins que vous le sauviez?

Au plus profond de moi à cette instant, j’espérais ne pas voir de pouce en l’air pour le sauvé, car il n’avait toujours pas bougé et je croyais l’avoir tué sur le coup. Mais Je vois plus de pouce vers le bas désignant sa mort. Mon regard se pose vers mon Maître qui vient de recevoir une missive. Il l’ouvre et en se levant un silence complet se fait dans l’arène :

-Le peuple à choisis… La décapitation avant de mettre le feu à la dépouille. Hurricane Wolf, Gladiateur au service du bon peuple de Bellator, Moi Kaldok Sageloup, en tant que Directeur de l’Académie et Maître de tous les Gladiateurs. Je t’ordonne d’accomplir le vouloir du peuple!

-Ce sera fait!

Je me retourne vers la bête giclant sur le sol. Je m’assois sur son dos pour que s’il est toujours vivant qu’il soit complètement humilier et je lui relève la tête pour que la foule vois une dernière fois le visage d’un Furries qui a fait tant de mal et que quiconque voudrait suivre ses traces que le même sors lui arriverait. Je me relève en laissant tombé sa tête, je n’ai plus aucune émotion mon bras se lève et l’épée de Damoclès s’abat sur sa nuque la rompant. On m’apporte alors de l’essence et un briquet. Et de sang froid j’allume le corps de l’ours. En contemplant mon œuvre, alors que les émotions me reviennent. Je ne peux m’empêché de regardé la foule qui scande mon nom comme un héro. Ce n’était pas désagréable, mais l’odeur de la mort vint gâcher tout mon plaisir et mon cerveau ce remit en marche. Comment avais-je pu faire quelques choses d’aussi cruel? Un deuxième regard à la foule me fit comprendre que même si nous avions une technologie avancé avec des véhicules et des ordinateurs ultramodernes qui sont capable de guérir, d’entrainé et de divertir. Les Furries avaient toujours leur coté primitif et leur système judiciaire archaïque l’avait encore démontré. Mais si les gens aime voir ce genre de spectacle et que ça permettait à d’autre de pouvoir faire leur deuil et étanché leur vengeance. Alors je recommencerais et sans hésité. Après tout, je suis un Gladiateur c’est mon Destin.

À mon réveille ce matin, je ne sus dire quelle heure il était. Vu la force du soleil qui me tapait dans les yeux au travers des volets clos j’aurais dis peut-être 11h. Déjà? Ou devrais-je dire encore… Je me passe la main au visage pour me gratter derrière mon oreille de loup. En prenant position assise dans mon lit, je ne peux retenir un bâillement qui révèle mes crocs. Je regarde autour de moi et je déteste tout ce que je vois. Ma chambre est faite en pierre rectangulaire recouverte d’une affreuse peinture verte, mon lit au matelas mince plein de ressort avec ses couvertures blanches. Je suis complètement perdu dans mes pensé maussade matinale, j’ai vraiment envie d’un verre ou même d’une bouteille au complet, mais je lui ai promis que j’arrêterais l’alcool. Ma porte s’ouvre dans un grincement qui me fait baisser les oreilles et je tourne machinalement la tête vers un petit louveteau, il a seulement 5 ans, son pelage blanc me rappelle énormément sa mère, pourtant il a les oreilles, le bout de la queue et les bras noir, il a aussi un petit toupet de la même couleur sombre avec des mèches bleu ciel, la même couleur que mon pelage. Il commence à entrer timidement dans ma chambre avec son petit regard gêné, mais il s’illumine quand il me voit réveillé :

-Papa!

-Vien la Tornado.

Dis-je en ouvrant mes couvertures. Il court se réfugié contre moi. Je le serre et il me demande :

-Dis papa, on rentre quand à la maison?

J’hésite à lui dire la vérité. Car plus jamais nous y retournerons, parce que depuis l’assassinat de sa mère, j’ai tout perdu à l’alcool et aux jeux d’argent. Et parce que j’ai tout fichu en l’air, nous devons vivre ici, dans un foyer pour monoparentale sans abri et je n’ai rien pour nous en sortir. Je décide malgré tout de mentir à mon fils :

-Bientôt! Dès que j’aurais trouvé un bon travail.

Mon petit loup me sourie, content de cette réponse monté de toute pièce. Il est jeune et encore naïf, mais pour combien de temps encore? Je soupire profondément quand le téléphone sonne. Je regarde Tornado avec un regard interrogateur :

-Qu’elle jour on est aujourd’hui?

-On est Lundi Papa!

-Oh merde!

Je m’exclame en sautant hors de mon lit en faisant attention pour ne pas frapper mon fils qui se laisse tomber sur le matelas dur comme de la pierre et je m’empare du combiné au vol :

-Allô?

-Hurricane, c’est votre conseillé de Foyer.

-Je vous avais reconnu Sirjo… Vous m’appelez tous les lundis.

-Nous devons nous rencontré aujourd’hui, c’est très urgent.

Je ne peux m’empêché de soupiré, qu’est-ce qu’il me veut à la fin? J’en ai ma claque des mauvaises nouvelles! Je me calme avant de répondre :

-Oui d’accord à qu’elle heure?

-À 3h cette après-midi. Vous ne faites rien à cette heure je me trompe?

-Absolument pas, en fait à pars moisir ici je ne fais rien d’autre.

J’ai répondu sur un ton froid, bien malgré moi. D’ordinaire j’essaie de gardé mon calme devant Tornado, mais la, ce Conseillé de Foyer me tombe royalement sur les nerfs.

-Bien alors à bientôt Hurricane.

-Ouais…

Je raccroche avant de commencé à m’habillé dans la salle de bain. Un jeans et un T-shirt noir font l’affaire, puis je me retourne vers Tornado qui tente de se caché dans mes couvertures pour me faire peur. Je m’approche doucement et saute sur mon lit en le chatouillant, il éclate de rire. Puis je le lâche pour lui proposé :

-On va manger?

-Oh oui!

Je le regarde détaler comme un guépard en direction de sa chambre pour s’habillé et il revient presque aussitôt. Je m’accroupis près de lui et avec le pouce en l’air, je lui demande :

-Prêt?

-Prêt!

Nous sortons enfin de notre minuscule appartement. Je suis soulagé de sortir de la, mais l’idée de me rendre à la cafétéria commune ne me réjouie pas. Je marche en me trainant les pieds, la seule chose qui me fait accéléré le pas, c’est quand Tornado est trop loin. Soudain il s’arrête devant une affiche dans le corridor. Il a l’air tellement impressionné que je fronce les sourcils curieux et m’avance devant la fameuse affiche, elle présente des gladiateurs dans toutes leurs splendeurs et derrière eux on voit d’autres Furries un casque d’écoute avec micro sur la tête et la pancarte dit :

AD VITAM ET MORTUM!
5 équipes de 2
2 gagnants
UN COMBAT SANS MERCI
À NE PAS MANQUEZ!
LE 16 JUILLET SUR VOTRE ÉCRAN!

Tornado se retourne vers moi et me demande avec un petit sourire :

-C’est ce que tu faisais avant de rencontré maman?

Bourreau, Exterminateur ou celui que le publique préférais Gladiateur. Oui j’en étais un, je tuais les condamné à mort en les offrants un spectacle sanglants au public et sans me vanté j’étais l’un des meilleurs, mais ses jours sombres de combat à mort sont loin derrière moi et je préférais les oubliés.

-Pas complètement, mais on peut dire que oui, c’était ce que je faisais. Maintenant vient allons manger.

-Pourquoi tu ne me parles jamais du temps ou tu travaillais pour la justice?

Mon cœur se serre, comment expliqué à un enfant de 5 ans que je battais et humiliais des gens pour les donnés en spectacles comme des animaux de cirques avant de demandé l’avis du public pour les exécutés selon leur désir.

-Quand tu seras plus grand peut-être.

-Maman disait que tu étais un combattant droit et juste! Et que tu étais comme un Super héro!

Moi un super héro? C’était bien le genre de Cyclone de lui dire ça. Elle voyait toujours que le bon coté des gens, même les crapules sans merci dans mon genre. Je presse le pas en voyant les portes de la cafétéria.

-Arrêtons de parlé de ça. Je te raconterais tout un jour ou tu comprendras par toi-même ce qu’est le vrai devoir d’un Gladiateur au service du Palais de Justice. Tout ce que je peux te dire c’est que j’étais loin d’être… ce n’est rien… un jour tu comprendras Tornado.

Il haussa les épaules et je pus enfin lâché un soupir de soulagement, quand il faisait ça c’est qu’il n’insistait plus. En avançant dans la cafétéria, je prends nos portions. 2 assiettes de poulet sur un lit de riz au légume et comme dessert un gâteau à la vanille et aux fruits des champs. Tornado avale sa portion en moins de deux, pendant que moi je pioche dans mon riz. Cet affiche dans le couloir à ramené à la surface tellement de mauvais souvenir et bien des visages que je ne peux oublier. Quand soudain un petit murmure qui prononce mon nom me fait tourner les oreilles. Une Tigresse blanche vêtu très classe avec un petit veston et chemise bien ajusté et des pantalons semi moulant pour laisser apprécier son corps parfaitement sculpté. Ses cheveux étaient rassemblés en une longue tresse qui lui arrivait mi-dos. Je détourne immédiatement le regard, car je la connais. Raya, une ancienne Gladiatrice qui a continué de gravir les échelons jusqu’au rang d’Iudex, le haut dirigeant des exécutions ou des jeux quand il y en a. Mais qu’est-ce qu’elle vient faire ici!? J’entends ses pas se rapproché quand elle dépose sa main tigré sur mon épaule :

-Hurricane! Ça fait un bail!

-Salut Raya.

-Tu sais que j’ai eu un mal fou à te retrouvé. Ça fait combien de temps? 5 ans?

-Pour me retrouvé tu aurais pu demander à n’importe qu’elle autre vagabond, on se connait tous.

-Alors tout ne va pas si bien que ça pour toi alors?

-Pas terrible.

-Dire que la dernière fois que je t’ai vu, tu venais de te marier avec Cyclone.

-Faux… tu es venus me voir à l’hôpital à la naissance de Tornado, c’est la que je t’ai dis que je laissais tomber les combats. Tu étais furax.

Ma voix c’est endurcie, dites moi ce que j’ai fais pour que mon passé obscure me retombe sur la tête ainsi? Était-ce trop demandé de seulement oublié? En fait je connais déjà la réponse, c’est non. Je ne peux pas oublier, c’est ma punition pour avoir torturé et mutilé tout ses hommes et ses femmes, même s’ils étaient déjà condamnés à la peine de mort. Mon regard se glisse vers Tornado. Je m’en veux de lui offrir une vie si misérable, puis la voix de la tigresse me ramène à elle.

-Oh oui c’est vrai! Je me souviens maintenant. Alors c’est ce beau jeune homme ton fils?

Mon petit loup lui sourie de tous ses petits crocs. Je pose ma main entre ses deux oreilles et commence à lui ébouriffé le toupet :

-Ne sois pas timide dit bonjour.

-Salut! Moi c’est Tornado, toi c’est quoi?

-Bonjour Tornado, je m’appelle Raya j’étais l’une des collègues de ton père il y a bien longtemps.

Avant que Tornado ne puisse répondre quoi que ce soit je décide de faire accéléré les choses, je ne veux pas qu’il puisse poser des questions :

-Pourquoi tu voulais me voir?

-Très bien, nous passons à la partie affaire…

-Tornado, rentre s’il te plaît, je te rejoindrais plus tard.

-D’accord.

Me répond t-il en se dirigeant docilement vers notre appartement. Puis je me retourne vers l’ex Gladiatrice :

-Maintenant parlons affaire.

-Bien, tu dois avoir entendu parler du Ad Vitam et Mortem?

-J’ai vu l’affiche oui. C’était ton idée?

-En grande partie oui. Tu sais bien que les jours de gloire des gladiateurs se sont… dégradés… Et j’ai besoin de toi pour ces jeux. Je veux avoir du sensationnelle, comme un ancien Gladiateur et pas qu’un ancien retraité, je veux que le meilleur Gladiateur que le monde est connu soit dans l’arène.

-Il y a quelques choses que tu ne me dis pas, pas vrai?
Je le vois par sa manière qu’elle a de dévier son regard vers la fin de sa phrase et de jouer nerveusement avec ses doigts et ses griffes. Elle le faisait toujours avant d’entré dans l’arène et honnêtement qui ne le fait pas.

-Et bien… le conseil des Circenses à décidé de changé un peu les admissions.

-Changé les admissions?

-Oui, maintenant les sans abri et les pauvres peuvent participer et ils seront jumelé à un prisonnier, l’un dans l’arène, l’autre dans un centre de commandement fermé et surveillé. Et le Mentor qui est en contact constant avec le Gladiateur doit le gardé en vie.

-Tu veux que je mette ma vie entre les mains d’un clochard!?

-Ou un prisonnier… Si l’un de vous deux meurs, les deux meurt.

-Comme ça j’ai 8 morts en plus sur la conscience? Non, je refuse.

-Tu ne veux pas y pensé avant de refusé?

-Non.

-Il y a une grosse récompense pour les gagnants, bien plus que lorsque tu étais un Gladiateur de Justice. Ça te sortirait d’ici, tu pourrais avoir une nouvelle vie avec ton fils. C’est ce que je t’offre Hurricane, 4 combats, seulement ça et ta liberté loin de tout ça avec ton fils.

-Je refuse de tué un innocent et même un prisonnier!

Je me lève furieux. Un simple regard autour de moi suffit à comprendre que j’ai crié, mais peut importe, tout le monde sait ce que j’étais il y a 5 ans. Je m’éloigne quand Raya m’interpelle une seconde fois :

-Tornado ne sait rien de tout ça, n’est-ce pas? Tu refuse de lui dire la vérité sur toi, sur ce que tu es? Ou sur la raison de l’assassinat de sa mère?

-Jamais il ne sera au courant de tout ça. Il est trop jeune! Ne te mêle plus de ma vie Raya. Trouve toi quelqu’un d’autre, je ne suis pas le seul Gladiateur de Justice que tu connais.

J’ignore si elle m’a répondu, je suis sortie immédiatement sans me retourné. Je fonce aussitôt vers le bureau de Sirjo. S’il a quelconque mauvaise nouvelle à m’apprendre autant le faire immédiatement, comme ça quand je pourrais évacuer toute la colère sans en rajouté par-dessus. Je rentre en trombe dans son bureau en prenant soin de claqué la porte. Je me tien face à un Berger Allemand en veston cravate, il parle au téléphone et reste surpris de me voir si tôt, notre rendez-vous n’était prévue que dans 2h30. Mais je m’en fiche, je me laisse tombé bruyamment dans la chaise face à son bureau et lui crache :

-Va s’y Jo. Apprend moi cette mauvaise nouvelle que je puisse en finir le plus vite possible!

-Je te rappelle plus tard.

Dit-il en raccrochant. Le chien se calle dans son fauteuil avant de se croisé les doigts. Je déteste quand il fait son attitude de supériorité qui me rappelle que je suis encore un moins que rien ruiné et détruit par l’alcool et les cartes.

-Hurricane, je ne crois pas que c’est une bonne idée, pas dans ton état, calme toi avant.

-Non, dit moi tout et pas de détour!

Le Berger Allemand me regarde droit dans les yeux, il a l’air de chercher ses mots. Je commence à pensé au pire. Ils vont nous mettre dehors moi et Tornado, c’est inévitable.

-Hurricane. Je ne veux pas vous mentir, mais votre situation se détériore de plus en plus… Et les Defensiva vont vous prendre Tornado, si vous ne réglé rien.

-Quoi!? Mais c’est une blague!?

-Je crains bien que non, vous avez bu et jouer tout l’argent que sa mère et vous aviez mis de coté pour l’envoyé dans une bonne école, pour qu’il n’ait pas à vivre votre vie de faux justicier! De plus les Defensiva on jugé dangereux de vous le laissé le temps de votre cure de désintoxication.

-Non! Je refuse que sa garde me soit retirée! Il est tout ce qui me reste!

Je suis démolie, mon regard cherche quelque chose sur lequel s’accroché, mais rien. Je sens un haut le cœur me gagné et la panique envahir mon esprit déjà tourmenté par cette affreuse journée, je ne peux pas le laissé partir, s’il part je serais perdu à jamais :

-Que dois-je faire?

-Pardon?

-Que dois-je faire pour garder mon fils!?

Sirjo semble troublé par ma détermination, pourtant ce ne doit pas être rare pour un père sur le point de se faire retiré son fils qu’il veule se battre pour le garder? Il réfléchit un instant, j’ignore si c’est parce qu’il pense à une solution ou s’il pèse chacun de ses mots pour me dire que je ne peux rien faire, mais je trouve que les quelques secondes qu’il prend sont très longues. Puis il finit par déclarer :

-Et bien… D’abord il faudrait rembourser toutes vos dettes.

Je baisse la tête, effectivement ce serais un bon début, mais je ne peux pas sortir d’ici sans que quelqu’un tente de me tuer, donc je suis dans l’incapacité de me trouvé du travail, ça commence mal.

-Et il faudrait poursuivre une cure plus sérieuse que de vous caché dans votre chambre et siroté une bouteille de Rhum quand votre fils à le dos tourné.

Le chien n’a pas tord pour l’alcool, je le fais toujours dans le dos de Tornado, je lui avais promis que j’arrêterais, mais ça je ne peux pas me l’avoué. Je déteste me dire que je me cache comme un enfant punis avec ma bouteille que je bois encore et encore.

-Il va aussi falloir que tu inscrives Tornado dans une école, que tu te trouve un appartement et reprendre une vie normale. Dernièrement il faudrait que tu voies un psychologue pour t’aidé à te débarrassé de ton comportement agressif de Gladiateur.

Je ferme les yeux en tentant de voir le bon coté des choses. Mais tout ce que je vois se sont les signes de Padem qui s’accumule. Jamais je n’aurais tout cet argent! Je commence à découragé, ma vie est fini autant me tiré une balle immédiatement. Je me lève à peine conscient de mes mouvements. Je m’apprête à posé la main sur la poigné de porte quand la voix de mon conseillé mes fait tourné à peine l’oreille :

-Il te reste 4 mois pour éviter qu’il te le prenne. Après ça, tu ne pourras jamais le récupéré.

Cette remarque est celle qui me met hors de moi. Je pars en courant dans le Foyer, je ne pense même pas à rentré dans la cage que serait mon appartement. Je fonce vers le seul endroit où je peux être bien, le gymnase. Je suis déjà à moitié exténué quand j’arrive. Mais je ne prends pas le temps de reprendre mon souffle, je commence à joggé, j’enchaîne sur les barres et plusieurs autre machine de musculation pour finalement me retrouvé avec une épée de mousse à la main à frappé tout les 3 mannequins de bois mécanisé qui tente de me frappé. Je ne pourrais pas dire combien de temps je suis resté la à m’entrainé. Soudain, la voix de Tornado résonne dans la salle ou je suis le seul occupant, comme toujours. Sa voix, elle avait quelque chose de triste, enragé contre moi-même je pousse un grognement de fureur et d’un bon coup d’épée, je brise le bras du mannequin programmé pour me frappé. Puis elle résonne encore :

-Papa?

Cette fois je me retourne, c’est vraiment lui devant la porte avec Raya. Qu’est-ce qu’elle veut encore celle la? Je m’avance vers eux en prenant une serviette pour essuyer la sueur qui me brule les yeux :

-Qui a-t-il Tornado?

-Tu n’arrivais pas alors j’ai trouvé Raya et elle m’a proposé de te cherché.

Je me penche vers lui, je suis tellement désolé qu’il s’est inquiété. Je pose ma main sur sa tête avant de la faire glissé dans son cou pour le rapproché de moi et le serré très fort. La présence de Raya me force à retenir mes larmes, jamais un Gladiateur ne pleure devant un autre, c’est une règle. Je me relève et lui adresse un hochement de tête pour la remercier puis elle me dit en me tendant une petite carte:

-Si jamais tu change d’avis. On ne sait jamais.

Je la prends quand une question vient me brulé le fond de la pensé :

-Combien?

-Quoi?

-Le prix du gagnant à combien il s’élève?

-Il est encore en négociation, mais il ne devrait pas tomber sous la barre des 100 000 Padem

-100 000 Padem? C’est plus d’argent que j’ai pu gagner dans toute ma carrière de 5 ans en tant que Gladiateur de Justice.

-Tu change d’avis alors?

100 000 Padem minimum, avec ça je règle tout ce que Sirjo m’a dit de réglé et en plus j’ai encore beaucoup d’argent de coté pour faire tout ce que je veux. Mes yeux descendent vers Tornado. Quoi faire? J’avais promis de ne plus jamais retourné dans l’arène, mais je ne peux pas me résoudre à laissé les Defensiva me prendre mon fils sans me battre non plus. Je pousse un long soupire et je lui retends sa carte :

-Je n’en aurais pas de besoin.

La tigresse soupire un coup en reprenant le bout de papier, sans me regarder dans les yeux et alors qu’elle se retournait pour partir je la retins :

-J’accepte de participer au Ad Vitam et Mortem.

Raya pivote vers moi avec l’agilité digne d’une Tigresse Gladiatrice :

-Tu es sérieux!? Tu reprends les armes?

-Seulement pour cette édition… j’ai besoin d’argent au plus vite. Cependant, j’ai une condition.

-Laquelle?

-Tornado vient avec nous, il est hors de question que je laisse mon fils seul dans cet endroit pourris.

L’Iudex souris en me tendant la main :

-C’est d’accord, il sera traité à son juste titre.

Je souris à mon tour en lui serrant la main :

-Marché conclus.

-Je te propose de repartir avec moi maintenant, comme ça tu va pouvoir commencer à reprendre de la forme tout de suite, je ne veux pas d’un ivrogne dans l’arène pour mes jeux.

Je ne peux m’empêché de piffé :

-C’est d’accord, je viens avec toi parce que j’en ai marre de cette endroit et que je veux en sortir au plus vite, mais je ne veux aucun traitement de faveur. Je commence en même temps que mes adversaires.

-Comme tu veux.

Raya avait levé les yeux en disant ça. Fier de mon coup je m’agenouille devant mon petit loup qui souriait, il comprenait très bien que l’on quittait ce foyer :

-Je vais préparer mes bagages?

Je lève mon pouce en signe d’approbation et il part en flèche direction sa chambre. C’est le premier pas pour un nouveau départ.